Makr fait beaucoup de choses. Des ceintures, des portes-feuilles, des sacs, des portes-clés, des housses, des gobelets, des patères… Vous allez me dire : quel rapport avec le vélo ? Explications.
The rustine aime les beaux objets et les belles matières. Makr aussi. Ce créateur américain transforme le bois, le cuir, la toile, le métal et le tissu en objets essentiels. Et ne s’encombre de rien, pas même du moindre détail. C’est épuré, c’est soigné. Pas étonnant que leurs sacs à dos aient atterris sur le shop de tokyobike – tiens tiens, les revoilà. CQFD. Alors the rustine a mis le grappin dessus, parce qu’il n’y a rien de plus agaçant qu’un sac à dos mal assorti avec son vélo. C’est affreux. Ce petit côté matérialiste qui nous fait aimer les faiseurs d’objets comme Makr.